L'avantage de faire du vélo, lorsque l'on dessine, c'est de regarder le paysage et de découvrir des sujets parfois tres simples. En voici deux qui se trouvaient en bordure de route à la fin de l'été.
Des feuillages, dans une friche, rougissants sous un beau soleil. J'ignore le non de cette végetation anarchique qui n'a pas besoin de la main d'un jardinier pour s'epanouir, mais qui a su faire son travail de séduction et me donner l'envie de dessiner ces plantes trop discretes.
Une poignés de chardons bien secs servent de tuteur et de faire valoir à ces plantes, qui profitent des derniers beaux jours pour attirer le regard du voyageur avant que l'hiver ne les mette au repos.
Voila deux autres peintures sur le même sujet à une autre saison