9 février 2009
1
09
/02
/février
/2009
11:39
Dessin au crayon. Format A3
Charisme, beauté, talent sont les images qui nous viennent en premier, mais aussi homme qui dans la vie irrite pafois.
J'ai regardé de nombreux films de ce monsieur, sans me poser de questions particulières,le cinéma était pour moi un passe-temps, une détente, un loisir.
Puis un jour j'ai regardé le film "DEUX HOMMES DANS LA VILLE" comme ça, plutôt passif, et peu à peu l'émotion est montée. Le moment le plus fort est venu avec la scène, où le condamné à mort, vit ses derniers instants.
Le face à face avec JEAN GABIN est d'une force qui m'a marqué pour toujours, le regard de DELON à GABIN et qui prononce ces mots "j'ai peur", les yeux du condamné expriment à ce moment là une détresse terrifiante.
Je ne sais si c'est grâce à cette scène, ou si les émotions étaient en moi, mais depuis cette époque, je regarde le cinéma et le travail des acteurs, la mise en scène, la musique, les dialogues, tout se qui fait que l'on ressort d'une salle heureux, triste, revolté ou déçu mais toujours avec une grande admiration pour nos acteurs...
DELON passe dans le temps avec une grande aisance. D'homme très beau, il est passé à cette maturité. Des traits qui lui donnent une vraie "GUEULE". J'ai bien senti en le dessinant qu'il y a des gens qui naissent avec ce quelque chose en plus, c'est comme ça, on l'a ou pas !
Charisme, beauté, talent sont les images qui nous viennent en premier, mais aussi homme qui dans la vie irrite pafois.
J'ai regardé de nombreux films de ce monsieur, sans me poser de questions particulières,le cinéma était pour moi un passe-temps, une détente, un loisir.
Puis un jour j'ai regardé le film "DEUX HOMMES DANS LA VILLE" comme ça, plutôt passif, et peu à peu l'émotion est montée. Le moment le plus fort est venu avec la scène, où le condamné à mort, vit ses derniers instants.
Le face à face avec JEAN GABIN est d'une force qui m'a marqué pour toujours, le regard de DELON à GABIN et qui prononce ces mots "j'ai peur", les yeux du condamné expriment à ce moment là une détresse terrifiante.
Je ne sais si c'est grâce à cette scène, ou si les émotions étaient en moi, mais depuis cette époque, je regarde le cinéma et le travail des acteurs, la mise en scène, la musique, les dialogues, tout se qui fait que l'on ressort d'une salle heureux, triste, revolté ou déçu mais toujours avec une grande admiration pour nos acteurs...
DELON passe dans le temps avec une grande aisance. D'homme très beau, il est passé à cette maturité. Des traits qui lui donnent une vraie "GUEULE". J'ai bien senti en le dessinant qu'il y a des gens qui naissent avec ce quelque chose en plus, c'est comme ça, on l'a ou pas !
Partager cet article
